Road book: Brouwerijen in noord Frankrijk (2de deel)
Approximatieve duur : 4h.
182 Km
Code 257
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Road Book publié dans Moto & Loisirs n°11 2003 Textes: Joseph Duchâteau Photos: Nico Monnoye
Départ: Grand Place de Tournai(B), arrivée: Gd Place de St Omer (F) Accès: Au départ de Bruxelles, prenez l’E429 qui vous amènera sans encombre à Tournai, suivez la direction centre jusqu’à la Grand-Place. Pour retourner chez vous par le chemin des écoliers : la D933 jusqu’à Cassel (sortez de St Omer via la N42 en direction d’Arques), suivez ensuite la D948 jusqu’à Steenvoorde. Cette départementale extrêmement peu fréquentée vous promènera à travers le plat pays. Elle se transforme après la frontière en N38 jusque Poperinge. De là, allez sur Ypres et Courtrai.
Au Nord, c’était le houblon (2)
L’été ne veut pas céder la place à l’automne, le thermomètre refuse de descendre sous les 20° C, la moisson bat son plein. Jadis, dans de telles circonstances, les brasseurs se frottaient les mains, car beau temps et matières premières signifiaient travail et argent. Pour avoir soif et consommer son corollaire, une boisson, nous n’avions pas besoin de l’excuse de l’été indien, et nous avons dès lors remis le cap sur le Nord de la France, à la recherche d’autres brasseries artisanales.
La bière de garde reste notre fil rouge et, au cours de ce road-book, nous avons ratissé la région située à l’Ouest de Douai, arrivée de notre première quête de la bière (voir M&L 10/03). Ici aussi, il va falloir résister à la tentation offerte par toutes ces bières exceptionnelles. Si notre chasse au trésor nous emmène dans un premier temps dans une région bien française de France, plus tard, en piquant vers l’Ouest, la consonance des patelins comme Bollezele, Bavinchove ou Hondeghem nous indiquera que la Flandre est aussi française ou que la France a aussi été flamande.
Tournik ou Doornai?
Nous démarrons la balade à Tournai ou Doornik, cela dépend de quel côté de la frontière linguistique on se place. Si ces considérations historico-linguistiques vous empêchent de dormir, une petite incursion dans l’histoire de cette ville vieille de 2.000 ans pourrait bien vous faire perdre le sommeil à tout jamais. La petite colonie à l’origine gallo-romaine, est devenue par la suite franque, puis française, anglaise, espagnole, néerlandaise, à nouveau française, et ensuite autrichienne, re-française, re-néerlandaise, et pour finir belge. Pour ne pas compliquer l’affaire, nous ne parlerons pas des peuplades qui y ont vécu avant les Romains, ou encore des Vikings qui y ont fait quelques incursions. On se demande comment, avec tout ça, les Tournaisiens ont fait pour ne pas y perdre leur latin! Dans cette histoire particulièrement riche, c’est la période franque qui frappe le plus, avec les Mérovingiens, les Carolingiens, et des personnalités comme Clovis, Childéric et Pépin le Bref … qui ont marqué nos cours d’histoire à l’école primaire. Si vous voulez vous rafraîchir la mémoire, une petite visite au Musée d'Archéologie s’impose. Si par contre vous dormiez au fond de la classe au cours d’esthétique, faites un saut au Musée des Beaux Arts, ouvert en 1928 et œuvre de Victor Horta, notre célèbre architecte Art Nouveau. Un musée peu connu, mais qui vaut le détour, notamment pour sa magnifique collection de Primitifs Flamands et une série de chefs-d’œuvre de l’impressionnisme. Nous nous en sommes tenus plus prosaïquement à une tasse de café sur la grand-place avec vue sur la halle aux draps, le beffroi, les tours de la cathédrale, assis aux pieds de bronze de Christine de Lalaing. C’est sous sa conduite que la ville a héroïquement résisté au siège espagnol en 1581, ce qui lui a valu cette statue en 1863. Il est bien agréable de flâner sur cette place récemment réaménagée, bordée d’édifices historiques, de terrasses ensoleillées, et égayée par une fontaine sculpture ou sculpture fontaine.
La France
Mais, la bière de garde nous appelle et nous prenons la direction du Sud en suivant l’Escaut et la Scarpe. Et, tout comme lors de notre précédent road-book, nous savons à quel moment précis nous pénétrons en France, et ce n’est pas parce qu’une signalisation quelconque nous l’aura indiqué ! Il n’y a qu’en France qu’on peut encore dépasser autant de vieilles Citroën BX valsant sur les départementales. Une bouchée dans une baguette fraîche nous fait connaître la saveur du vrai pain français. Nous ne pouvons nous empêcher de faire halte au premier Bar-Tabac pour nous enfiler un café et un croissant. Ce qui nous donne l’occasion de philosopher sur les vertus de la gastronomie française. Dans l’intervalle, le boulanger vient faire une nouvelle livraison, serre la main à tous les clients - salut, ça va? – et s’enfile un petit rouge avant de rejoindre sa fourgonnette. A cette heure matinale, nous préférons nous en tenir au café et nous reprenons la route en direction de Saint Amand-les-Eaux. Si vous passez ici à l’heure de midi, retirez votre casque et écoutez entre midi et midi trente le carillon de l’ancienne abbaye. Et si vous voulez purifier votre corps, les thermes peuvent vous revigorer avec une petite « douche pénétrante » (aucune idée de ce que c’est … !?).
Quelqu’un veut une tartine de verre?
Quelques kilomètres plus loin, nous traversons au petit trot la Forêt de Sec-Marais. Les nombreux casse-vitesse sont, à mon avis, totalement déplacés ici, car la beauté et la sérénité de la nature invitent plus à la flânerie qu’à la course. Nous enchaînons joyeusement les bois et les forêts avant d’atteindre vers midi la cour intérieure de la Brasserie d’Annoeullin. Le repas c’est sacré, le brasseur ne donne aucun signe de vie. Nous furetons à notre aise dans les différents bâtiments et annexes, avant de trouver des cuves à brassin, vides, malheureusement. La pièce de résistance de cette brasserie s’appelle “L’Angélus”, ronde et pleine, douce et crémeuse, ambrée mais à l’arôme puissant. Quelques variantes saisonnières sont brassées autour de cette bière, du genre « de Mars » ou « de Noël ». « La Nuit Parisienne » se rapproche le plus de la bière de garde originale et l’ « Albert Ball » a reçu le nom d’un pilote anglais de la première guerre mondiale.
Quoi? Qui? Ch'Ti!
C’est donc à jeun que nous enfourchons nos montures, heureusement, car notre sens de l’orientation va être mis à rude épreuve entre villages et étangs. Nous louvoyons jusque Bénifontaine où nous visitons la Brasserie Castelain. De toutes les brasseries que nous avons visitées, c’est sans conteste celle qui a le mieux réussi à concilier tradition et succès commercial. Cette brasserie fondée en 1926 a été reprise en 1966 par la famille Castelain à la condition expresse de respecter les valeurs traditionnelles du métier. Sur le principe de la fermentation basse à 14° C et de la maturation à 0° C on y produit une famille nombreuse sous le nom de Ch’Ti. Si vous voulez aller jusqu’au fond des choses, prenez rendez-vous pour visiter la brasserie. Vous irez d’abord dans le petit musée, longerez les cuves de brassage et de maturation et aboutirez dans l’espace de dégustation. Nous suivons la visite dans un silence respectueux et pénétrons dans les entrailles de la fabrication de la bière, à un point tel que nos sous-vêtements finiront par sentir le malt. Nous nous laissons tenter dans la boutique bien achalandée et l’excuse « moto » parvient tout juste à nous tirer de la dégustation. Sachez quand même que la plupart des bières brassées ici sont vendues dans les supermarchés belges proches de la frontière. Inutile de bourrer vos sacoches ! Et si vous n’êtes pas pressé, poussez jusqu’à Lens où dans le quartier de la gare, la “Taverne du Ch’Ti” vous propose de faire connaissance avec cette bien agréable famille de bières.
Français du Nord ou Flamand de l’Ouest?
Cap sur Hazebrouck, une étape de liaison un peu trop rectiligne. Nous progressons au milieu d’un paysage varié où les coins idylliques alternent avec de grandes étendues agricoles et des zones industrielles. La Grand-Place de Hazebrouck est pour nous synonyme de tasse de café. Direction Cassel, avec un petit détour par St-Sylvestre-Cappel. La Brasserie de St-Sylvestre, une entreprise de taille moyenne produisant une dizaine de bières, ne peut rivaliser avec l’accueil chaleureux que nous avons reçu à Bénifontaine. Si au début de ce road-book, nous nous sentions nettement en France, ici il y a un je ne sais quoi de flamand dans l’air. Le paysage, la façon d’ordonner les choses, mille petits détails architecturaux et culturels trahissent le plat pays. De Cassel à Boeschepe, nous passons par le Mont des Cats, le Mont Noir, le Mont des Recollets et le Mont Rodeberg, pour finalement arriver au Mont Scherpen et – pour les amateurs de cyclisme - au Mont Kemmel. Les nombreux estaminets, les sports de café comme les fléchettes et le jeu de paume et les cortèges de carnaval avec leurs géants sont aussi des traditions flamandes.
Cassel
Nous apercevons déjà Cassel au loin. Une solide ascension sur des pavés nous fait penser aux cols alpins de notre collaborateur, même si ici elle est de courte durée. Dire que cette chaussée date de l’époque romaine, et les pavés sont presque aussi vieux ! Du haut de ce sympathique mont, on jouit d’une belle vue sur la Flandre – française et flamande - à une cinquantaine de kilomètres à la ronde. La Brasserie Zannekin nous attend en bas, mais ici aussi il n’y a pas un chat! Qu’importe la grand-place est accueillante avec ses sympathiques cafés et ses vieilles bicoques. Si vous avez le temps, n’hésitez pas à pousser la porte des petits musées locaux, dont « La Maison de Rubrouck », un habitant de Cassel qui aurait découvert la Mongolie au XIIIe siècle. Si vous avez encore plus de temps, réservez à l’Office de Tourisme une visite guidée de la ville.
Une petite alors ...
Nous partons sur Esquelbecq et La Brasserie Thiriez, une petite entreprise qui brasse une large gamme de bières spéciales. Nous traversons l’Yzer vers Zegerscappel et Bollezeele, puis nous serpentons sur une petite route vallonnée de Merckegem à Watten, dernier maillon de la chaîne des « Mamelons flamands ». En 1072, une abbaye a été fondée sur ce mont, dont il ne reste plus que les ruines du clocher. A la même “altitude”, on trouve encore un moulin à vent restauré datant du XVIIIe siècle, comme la région en comptait beaucoup, mais dont quelques-uns à peine ont pu être sauvés. D’ici aussi, par temps clair, on peut apercevoir la navigation sur la Manche. Notre road-book touche à sa fin et nous décidons de le finir en beauté le long du Canal de Neuffossé qui nous conduit à proximité de St Omer. Le canal traverse des paysages étonnamment ruraux ou pittoresquement urbains, est bordé de maisons de part et d’autre et est interrompu de temps en temps par un petit pont tournant. Nous ne visiterons qu’une des deux brasseries de St. Omer, en l’occurrence la Brasserie Audomaroise. Nous terminons notre journée bien remplie par un arrêt sur la énième grand-place de notre balade. Pour un énième café? Que neni ! Une bière, patron!
Fabrication de la bière
Voici un petit cours sur la fabrication de la bière à l’attention de ceux qui n’y connaissent rien (ce qui ne veut pas dire qu’ils ne sont pas à même d’en boire et de l’apprécier). Commençons par l’indispensable, les matières premières: l’eau, le malt et le houblon – pas besoin d’autre chose. Mais ces ingrédients doivent être de toute première qualité. Pas d’eau du robinet, sauf si vous voulez une bière blanche javellisée … Non, il vous faut votre eau de source (sans nitrates si possible …). En ce qui concerne le malt, il faut d’abord avoir de l’orge, ce qui n’est pas trop difficile à se procurer. Puis il faut le malter: le faire germer puis le sécher. C’est ainsi que l’on obtient la base pour la couleur (et en partie aussi le goût) de la bière: blonde, brune ou entre les deux. Quant au houblon, la Flandre était autrefois réputée pour sa culture, ce sont maintenant les pays d’Europe de l’Est qui s’en chargent. Les feuilles femelles de cette plante grimpante contiennent des huiles et des acides qui vont déterminer la conservation de la bière. En fonction de la variété choisie, le houblon apportera une amertume dans la bouche (goût) ou dans le nez (parfum). Passons maintenant au brassage. Pour ce faire, il faut broyer le malt et le mélanger à l’eau. Dans une cuve, ce brassin sera amené en plusieurs étapes à la température de 74° C. C’est une phase clé dans le processus de brassage car l’amidon y est transformé en sucre. Voilà, on dispose maintenant d’un liquide riche en sucre qui après filtrage sera versé dans la cuve de brassage. Le brassin sera chauffé et on y ajoutera le houblon, selon le goût. Il faut le laisser mijoter pendant deux heures, puis le laisser refroidir. Il est ensuite transféré pour maturation dans des fûts. Pour cette opération, il vous faut déterminer une température à maintenir. Elle peut être basse (14° C) ou haute (24° à 27° C). Vous choisissez une culture de levure en fonction du goût souhaité et vous la laissez pendant une huitaine de jours dévorer les sucres, ce qui va les transformer en alcool et en dioxyde de carbone. Le tout passe dans les fûts de fermentation où il vous faut aussi choisir une température et une durée de fermentation (6 à 8 semaines pour ce type de bières). Après fermentation, bien filtrer et mettre en bouteille ou en fût. Santé !
Brasserie Annoeullin 5 Grand-Place 59112 Annoeullin tél. 00/33/320 86 83 60. Bières: L’Angélus (forte, ambrée) et dérivées (Mars, Noël, Louches) La Nuit Parisienne (blanche, bière de garde) Vita-Pils (goût houblon prononcé, sec et amer)
Brasserie Castelain 13 rue Pasteur 62410 Bénifontaine tél. 00/33/321 08 68 62. Bières: Ch’Ti Blonde (bière de garde, douce, ronde, arôme fin et délicat) Ch’Ti Brune (bière de garde, plus forte, arôme prononcé) Ch’Ti Ambrée (robe cuivrée, malt grillé et donc goût caramélisé) Ch’Ti Triple (bière de garde, fortement alcoolisée, goût plein) Ch’Ti Blanche (robe blanche, avec malt de froment, épices, houblon fin) Jade (pils, label bio)
Brasserie de St-Sylvestre 141 rue de la Chapelle 59114 St-Sylvestre-Cappel tél. 00/33/328 40 15 49. Bières: Bière de Noël (riche, fruitée, légèrement épicée) Bière Nouvelle (goût de houblon prononcé, acide) Gavroche (goût fort, fruits rouges) Hoppeland (bière légère, amère, houblon) Luxe de Moulin (sucrée, se laisse boire facilement) Trois Monts (forte, complexe, fortement alcoolisée)
Brasserie Thiriez 22 rue de Wormhout 59470 Esquelbecq tél. 00/33/328 62 88 44.
Bières : L’Ambrée d’Esquelbecq (fort goût malté, houblonnée, épicée) La Bière des Tambours Majors (rousse) Blonde d’Esquelbecq (rafraîchissante) L’Esquelbécoise La Noël d’Esquelbecq
Brasserie Audomaroise 6-8 Louis Marteel St Omer tél. 00/33/321 88 08 80.
Bières : L’Audomaroise Ambrée L’Audomaroise Blanche L’Audomaroise Blonde Bière de Noël Bière des Cossettes Bière des Ruchettes Bière des Hayettes Tournai Baignée par l’Escaut, cette ville a vu le jour avant la période gallo-romaine. Mais, ce sont bien évidemment les Romains qui ont donné son implantation à la ville et lui ont apporté sa prospérité économique. De nombreux vestiges témoignent d’impressionnants travaux d’infrastructure : aqueduct, égoûts, villa avec chauffage central, etc. Quand les Huns, venus de la lointaine Ukraine ont lancé leurs grandes migrations, ils ont chassé les Ostrogots et les Wisigoths qui, eux, ont envahi l’Empire Romain et la région n’a plus jamais été en paix. Mais une fois que les Francs se furent appropriés la région, il s’ensuivit une période de prospérité. Les Mérovingiens se sont distingués dans tous les livres d’histoire, songez à Childéric et Clodimir, après quoi les Carolingiens sont entrés en scène. Pour en savoir plus, plongez-vous dans les collections du Musée de L’Archéologie (Rue des Carmes, 8 7500 Tournai, tél. 069/22 16 72). Le Beffroi et la Halle aux Draps témoignent d’un riche passé médiéval, ces deux monuments sont situés sur la Grand-Place. Et si vous raffolez des édifices historiques, la Cathédrale et quelques autres églises vénérables sont un must. Info: Office du Tourisme de Tournai, Vieux Marché aux Poteries, 14 (sous le Beffroi) 7500 Tournai, tél. 069/22 20 45.
St Amand-les-Eaux Premier arrêt, sur la Scarpe, un affluent de l’Escaut. Connue comme ville thermale, vous pouvez y séjourner pour une cure. Comme on l’a dit, ne manquez pas le carillon, dans le clocher de l’ancienne abbaye. Cette ville s’ouvre sur la Plaine de la Scarpe et de L’Escaut, riche de nombreuses réserves naturelles et de forêts (notamment la Forêt de Sec-Marais et la Forêt de Phalempin).
La Flandre Cette région frontalière s’étire de Dunkerque à Lille et de Calais à la frontière belge. Ce plat pays est piqué de monts sur lesquels sont perchés de petites villes ou des moulins. La plupart des villes et des villages portent des noms flamands et tout y rappelle la Belgique flamande: la paysage, l’architecture, la bière, les cafés, le carnaval et ses géants … De nombreux musées présentent le riche passé de cette région. Ne manquez pas le Musée des Augustins à Hazebrouck (installé dans l’ancien couvent des augustins, tél. 00/33/328 43 44 46).
Cassel Ce mamelon sympathique (impossible de nommer autrement ce mont qui « culmine » à 150 m) vaut le détour. Pour le panorama unique, pour le caractère homogène et bien conservé de la ville et pour l’ascension spectaculaire pour y arriver. Les Romains sont aussi passés par ici et on leur doit notamment les 7 chaussées qui mènent à la ville. Visitez les édifices historiques sur la Grand-Place, franchissez les vieilles portes de la ville et poussez jusqu’au moulin à vent restauré et en activité (tous les jours d’avril à septembre de 10 à 18h). Dans une maison typiquement flamande, on peut suivre les aventures de frère Guillaume de Rubrouck qui aurait découvert la Mongolie après un long périple à pied (nu encore bien). Visite guidée de la ville de juin à septembre le premier vendredi du mois à 15h organisée par l’Office de tourisme. Info: Office de tourisme du Mont Cassel, 23 Grand-Place, 59670 Cassel, tél. 00/33/03 28 40 52 55.
Les brasseries De toutes sortes : de la petite à la grande, de l’artisanale à l’industrielle, de la bien tenue à la bordélique. A conseiller : la Brasserie Castelain avec sa visite guidée et sa dégustation, sa boutique bien achalandée et le dynamisme de la famille Castelain. La visite guidée se réserve (idem pour les autres brasseries). Si vous voulez goûter ces bières en dehors des brasseries, vous ferez chou blanc dans la plupart des cafés de la région, par contre les restaurants qui proposent de la cuisine locale vous en serviront à la carte.
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